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De vous à moi...

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France Inter: Interview d'Hervé Pauchon​

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"SCIENCES ET SANTÉ"

« Ados, la tentation d’en finir »

« Le livre de Louise Gaggini « Dernière année avant le bac » nous entraîne dan le monde de la jeunesse tel qu’on ne nous le montre jamais. Ni conventions ni stéréotypes. Un monde jubilatoire, éclatant et cynique dans une langue d’aujourd’hui que n’auraient reniée ni Audiard ni Queneau.

 

Un livre qui aborde les problèmes de la jeunesse, suicide, inceste, violence, éducation, drogue, alcool et mal de vivre, mais avec une justesse de ton, une dynamique d’écriture et une impertinence, qui font que malgré la gravité des situations, c’est toujours la vie qui l’emporte. A lire absolument si on est parents, mais un roman destiné aussi aux éducateurs, aux professeurs de la santé et de l’éducation, et aux ados évidemment, qui seront c’est sûr, heureux d’être si bien racontés.

 

Marie Dubois

 "L'ALSACE", 7 novembre 2007

« Une maman universelle »

 

Romancière et peintre, journaliste, Louise Gaggini vient de publier « Les enfants sont la mémoire des hommes », conte sous forme de livre disque, dont les droits iront à l’Unicef.

Entretien avec Louise Gaggini 

S.B : Comment est né ce projet ?

Louise Gaggini : J’ai d’abord réalisé des peintures et une exposition il y trois ans sur le thème de l’enfance. J’avais réalisé mes tableaux dans le désordre et j’ai fini par y voir un ordre. Une histoire s’en est dégagée, un conte plutôt destiné aux adultes, qui va de l’origine au livre des hommes. Je l’ai donc écrite et puis j’ai composé une musique. Sur le cd j’accompagne au piano Eric Ferrat qui dit le texte.

S.B : Pourquoi l’Unicef ?

Louise Gaggini : Je voulais montrer aux enfants que même lorsqu’on est en difficulté, il y a toujours des issues et comme l’art et l’enfance pour moi se confondent, j’ai naturellement pensé à donner mes droits à l’Unicef. L’idée est de faire réfléchir et de donner de l’argent sur le terrain pour le pain et pour l’éducation. J’aimerais pérenniser cette action pour l’enfance, aller plus loin avec une journée nationale, pourquoi pas internationale sur l’art et l’enfance.

 

Ecouter et lire « Les enfants sont la mémoire des hommes » S.B

"L'ALSACE" 3 février 2004

Croque la vie !

 

À quatre ans, la petite Claire devient pensionnaire d'une institution religieuse dans le Nord. Son père lui rend visite tous les trois mois. Sa mère, jamais. L'enfant survit, convaincue de ne compter pour rien, pour personne. En 1961, à 13 ans, l'adolescente quitte son bagne et rejoint l'Algérie, où vit sa mère, pour quelques mois. Puis, très vite, retour en métropole. Dans l'intervalle, Claire a appris à croquer dans la vie, à se saisir des moindres bribes qui passent à sa portée. Dans l'effervescence de l'Algérie d'alors, elle remonte le cours de l'histoire de ce pays, de la prise de Constantinople en 1837 à l'indépendance de 1962. Elle découvre les différences et les saveurs, les mots et les légendes. Elle se construit, discrète et silencieuse... avant de rencontrer Pierre au milieu d'autres bouleversements, ceux de mai 68 à Paris. Et de concevoir avec lui Cléa... qui l'aidera à soigner les cicatrices de l'enfance.

Louise Gaggini invente une langue à la fois brutale et chaotique, tendre et suave, pour dire le combat d'un être pour exister. La Résultante est un récit envoûtant, une leçon d'Histoire qui rend toute sa place à la femme. Pour le meilleur et pour le pire.

 

 Jacques Lindecker

"L’ÉCHO DU VILLAGE"

« Critique d’un roman argotique »

 

Le style ici contraste avec la rhétorique pompeuse qu’on a souvent coutume de croiser dans la littérature. L’auteur, Louise Gaggini, écrit d’une façon plus ou moins argotique les péripéties d’une bande d’adolescents. Et nous sommes dans cet ouvrage à des années lumières de l’imagerie de la jeunesse dorée.

Des adolescents qu’on condamne à devenir adultes alors qu’ils sont assurément dans le « complexe du homard ».

Conscients de la mesquinerie des rapports hommes-femmes qui les entourent et auxquels ils ressembleront un jour, ils s’adonnent par réaction et inexpérience à différents excès et dangers.

Comment s’en sortiront-ils ? Esquiver ou tenter de s’accommoder ?

 

A lire : Dernière année avant le bac. Louise Gaggini. Editions Multitudes.

"LE QUOTIDIEN DU MÉDECIN" 13 avril 2004

La somme de tout

 

Sous forme elliptique, c'est un siècle d'histoire de l'Algérie que restitue Louise Gaggini, mais vu aux travers les yeux d'une adolescente.

PEINTRE, musicienne, auteure au plus près des drames humains - « Sida, de la conscience à l'urgence », en 1994, « Toxicomanies, paroles de jeunes », en 1998, « Procès du sang contaminé, comprendre l'imbroglio », en 1999, « Attentat du 11 septembre, voyage au bout de l'enfer » et « Terrorisme et guerre bactériologique », en 2001 -, Louise Gaggini donne ici un récit du cœur. Qu'elle colore de tons pastel même si le rouge du sang est en toile de fond, et qu'elle restitue sous forme de musique de chambre même si l'apocalypse menace.

Claire avait quatre ans lorsque sa mère, espagnole mais grandie en Algérie, a quitté son père, et elle aussi. Élevée dans un pensionnat du nord de la France jusqu'à ses treize ans, un peu mystique et anorexique, elle va, en 1961, retrouver cette mère dans son pays natal. La guerre explose autour d'elle, mais la jeune fille n'est sensible qu'aux odeurs, aux couleurs, aux sons qui l'entourent et, de récits en légendes elle remonte le cours de l'histoire - à travers les histoires d'amour de ceux qui ont aimé ce pays - jusqu'à la prise de Constantine en 1837, tandis que sa propre histoire va se prolonger dans le Paris de mai 1968.

Plus qu'un témoignage d'amour à un pays, ce livre est un hymne d'amour universel, toutes cultures et croyances confondues, tous genres humains mêlés.

 

Martine FRENEUIL

"LE FIGARO" 16 mai 2001

« Louise Gaggini : retrouver le chemin des livres »

« Louise Gaggini, journaliste, écrivain, vient de publier « Dernière année avant le bac » aux Editions Multitudes, un roman pour et sur les adolescents qui, selon l’auteur, restent aujourd’hui les grands oubliés des éditeurs. »

 

(Un quart de page pour cet entretien de fond que vous pouvez retrouver sur les archives du Figaro, entre autres supports)

 

Laurence de Charette

 "LE NOUVEL OBSERVATEUR" 27 avril 2001

« Ados de papier »

 

« Dans « Dernière année avant le bac » (Multitudes éditions), la journaliste Louise Gaggini s’intéresse aux problèmes de la société, et particulièrement à ceux de la jeunesse. Un roman à découvrir en famille. »

"ONIRIK LITTÉRATURE" : Critique d'Enora

LES ENFANTS SONT LA MÉMOIRE DES HOMMES de Louise Gaggini

 

Les enfants sont la mémoire des hommes est un conte philosophique à la fois poétique et violent qui par le biais de l’art, induit une réflexion sur ce qu’est être un enfant aujourd’hui…

Tout commence par Le livre des légendes, il était une fois un roi et une princesse qui vivaient heureux et amoureux. Un jour une querelle éclata entre eux, le roi ayant décidé que grammaticalement le masculin l’emporterait sur le féminin. Mais comme il aimait la princesse, il rédigea le début d’un décret « Au commencement était le verbe… » et lui proposa de trouver la suite du texte. Elle ajouta aussitôt : « …mais la musique arriva et l’emporta avec son LA, c’est comme ça que toi et moi on devint nous ». Ils créèrent alors le ciel, la terre, les étoiles et tous les enfants du monde. Ce fut le moment de tous les possibles où même les adultes faisaient des rêves d’enfants ; mais peu à peu Le livre des hommes grignota Le livre des légendes. Mensonge, violence, meurtre, exploitation, prostitution, les adultes détruisirent peu à peu tous les enfants et le monde sans enfance devint un chaos noir, glacé…

Louise Gaggini nous convie à la lecture d’un conte que ses tableaux illustrent et complètent. Chaque chapitre est enrichi par une œuvre sur toile utilisant l’huile, l’acrylique, le collage et d’autres techniques mixtes. Grâce au CD dans lequel Eric Ferrat lit son texte sur une musique qu’elle a composée, Louise Gaggini fait appel à tous nos sens pour aller à la rencontre de son message. Son constat est très dur et pourtant l’espoir est là, l’artiste veut y croire, les hommes ont encore, enfouis au fond de leur cœur, le souvenir de leur rêves d’enfant. C’est en cela que les enfants sont la mémoire des hommes.

Elle nous invite alors à aller voir les enfants de Neve Shalom (Neve Shalom, en hébreu ; Wahat as-Salam, en arabe ; Oasis de Paix, dans la Bible des Chrétiens) est un village établi conjointement par des Juifs et des Arabes palestiniens, tous citoyens d’Israël, mais aussi un endroit où se côtoient les trois religions. L’activité principale du village est le travail éducatif auprès des enfants pour la paix, l’égalité et la compréhension entre les peuples.

L’artiste nous parle aussi du plaisir, celui qui naît de l’amour, avec un A et un LA parce que c’est la musique du bonheur qui donne une équation exponentielle où toi et moi devient nous. Elle l’oppose à ce plaisir ou l’autre devient un objet, un instrument et où l’équation devient 1+1 =0 car l’autre est nié, est tué et elle nous renvoie ainsi à la prostitution infantile, à la pédophilie.

Son chapitre La dévoration en marche fait écho au livre de Claire Brisset Un monde qui dévore ses enfants. Dans cet ouvrage, la porte parole de l’Unicef, ex-défenseur des droits de l’enfant, lance un cri d’indignation : nos enfants sont battus, violés, enrégimentés sur les champs de bataille, mis au travail et nous ne réagissons pas contre ce massacre de notre génération future.

Ce conte à la fois poétique et philosophique nous amène à réfléchir sur ce que nous sommes, des homos-sapiens qui se targuent de sagesse, qui se veulent supérieurs aux autres espèces animales, qui se vantent de réflexion… mais qui détruisent leurs enfants depuis la nuit des temps !

L’exploitation des enfants m’est revenue en tête en regardant la télévision, en cette période ou commencent déjà les publicités pour les jouets de Noël. Quelque soit notre culture religieuse, Noël est censé être une fête de l’amour, une fête aussi pour les enfants or notre civilisation la transforme en un enjeu commercial dont l’enfant est la principale victime. Quel message lui envoie-t-on ? Que l’amour se mesure par une surenchère de biens de consommation ? Quels Hommes veut-on faire de nos enfants ? Où sont la spiritualité, le rêve et l’imagination dans tout ça ?

Je vous laisse méditer en conclusion sur ces paroles d’enfants tirées du très beau livre de Louise Gaggini : « Je voudrais être oiseau, bulle de savon… voler plus haut… vivre, vivre, vivre ! Enfin... »

 

ENORA

 

Fiche Technique

Format : broché

Editeur : Multitudes

Droits de texte reversés à l’Unicef

"NICE MATIN" 7 décembre 2007

« Le conte de Louise Gaggini séduit plus de 250 enfants »

 

Boucles blondes et grands yeux bleus Louise Gaggini ressemble à l’héroïne d’un conte de fée. En fait, les contes c’est elle qui les écrit. À la fois auteur et artiste, elle est venue présenter à Estérel Gallery, son dernier ouvrage « Les enfants sont la mémoire des hommes ». 

Louise Gaggini a animé une conférence-débat à laquelle plus de 250 enfants des écoles primaires et du collège Albert Camus ont participé : les jeunes avaient préalablement travaillé sur le livre en classe et pu admirer l’exposition des tableaux de l’artiste.

Ils ont posé beaucoup de questions à l’auteur, notamment sur ses motivations et son travail.

«Plus qu’un débat ce fut un échange très riche pendant deux heures entre les enfants et moi » confie Louise Gaggini. L’auteur se sent en effet très proche des jeunes et c’est à eux et aux adultes, qu’elle veut faire passer un message « Je veux que les enfants se sentent beaux et forts à travers ce livre. C’est un conte avec un roi et une princesse, mais qui prend en compte la réalité contemporaine et le monde avec ses problèmes » ajoute-t-elle.

Le livre, en quatre parties et avec un cd musical, décrit certains états du monde, de sa création à sa destruction par les hommes, et raconte son avenir incarné par les enfants. « Il faut que les adultes réfléchissent à l’avenir des enfants. Il faut développer leur désir d’apprendre, leur transmettre des passions...Tout ceci peut servir à lutter contre les discriminations et la violence » conclut Louise Gaggini.

A noter que le livre artistique et musical de Louise Gaggini se trouve en librairie, et que les droits de texte sont reversés à l’Unicef.

 

Loredana Latil, Nice Matin.

"LE NOUVEL OBSERVATEUR" 7 avril 2004

Louise Gaggini

La Résultante ou Claire d'Algérie

 

Claire voix

 

Une fresque violente et généreuse de l'Algérie colonisée, vue à travers le regard de Claire, adolescente à l'enfance blessée. Rencontre avec Louise Gaggini.

La chevelure de Louise Gaggini est si flamboyante qu'il faudrait, pour elle inventer une expression nouvelle : blond florentin plutôt que vénitien. Car la belle est d'origine toscane par son père. Une fois repérée sa toison où l'or roux coule à flots, on la trouve attablée dans le café du rendez-vous avec une vieille dame portant canne qui lui parle d'une famille partie planter des vignes en Algérie. A les voir si enjouées dans leurs échanges, on jurerait que ces deux-là se connaissent depuis longtemps. Non ! Elles viennent de se rencontrer. Elle est comme ça, Louise. On va vers elle et elle va vers les autres. Une intuitive, une généreuse, une tactile. « Et aussi un brin médium... », ajoute-t-elle en plantant l'amande grise de ses yeux dans les vôtres... « Je ne crois pas au hasard, la preuve, cette rencontre... » De fait, le livre de Louise raconte lui aussi l'histoire d'une famille de colons partie planter des vignes en Algérie. De ce pays, ce roman sensuel colporte les effluves, les moiteurs, musc, jasmin, olives, cumin, mais aussi – plus âcre dans la gorge –, graisse d'agneau rancie, sueurs mêlées. Des senteurs qui imprègnent tout « Même l'amour en avait le goût », écrit Louise.

Pour Claire, l'adolescente débarquée de son pensionnat perdu dans les brumes et les champs labourés du Nord, c'est le choc des sens. Une grande claque de bleu, de blanc, de brise, de bruits et d'odeurs dont elle ignorait jusqu'à l'existence. Tout son être s'ouvre alors à la lumière de ce pays, qu'elle découvre pour y rejoindre sa mère. La scène se passe en 1961. Partout autour de Claire, la ville blanche explose. Tout n'est que désordre, violences et blessures. De récits en légendes, la jeune fille recompose la mosaïque troublée d'un siècle de colonisation, à travers une famille française et une galerie de personnages bougrement attachants, Moktar, Moshé et surtout Fatima, dont le lait a nourri aussi bien Ahmed que Sauveur... Dans cette Algérie qui éclate de toutes parts, Claire, l'anorexique séparée d'un père adoré et d'une mère tyrannique, va se frayer un chemin de salut. Des faits dans lesquels on reconnaît des éléments autobiographiques.

  • EUROPE 1 : Emission de Fabienne Kraemer, invitée le 22 mai 2001.

  • FRANCE INTER : « Alter Ego », avec Patricia Martin le 19 juin 2001

  • FRANCE 3 PARIS : INFORMATIONS DU 12-14 , invitée le 4 avril 2001.

  • FRANCE INTER : chronique d’I.Monrozier, invitée le 6 juin 2001.

  • CHAÎNE : SANTÉ VIE : invitée par Jacques Pradel et E.Antier le 6 avril 2001.

  • RTL : « Eclats de vie » avec Valérie.Benaïm le 18 juin 2001

  • FRANCE BLEU

  • FRANCE INTER : www.franceinter.com : revue de presse de jean Morzadec.

RADIO:

 

EMISSION "VOL DE NUIT" TF1:

Une écriture somptueuse de la qualité des Camus et des Albert Cohen, mais surtout un livre d’odeurs et de sensualité, d’émotion et d’amour qui nous réconcilie avec la vie et nous ramène à la paix.

 

Christine Kelly, journaliste et membre du CSA.

 

​EMISSION "LES MOTS DE MINUIT" FRANCE 2:

Au travers du regard d’une adolescente qui va remonter le cours de l’histoire de l’Algérie jusqu’à sa prolongation dans le Paris de mai 68, Louise Gaggini nous mène à la mémoire, aux origines et à l’identité.

 

Philippe Lefait – France 2

TÉLÉVISION:

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